Christian Hémon 

Auteur nature.

Je suis auteur de poésie et à ce titre j'ai reçu de nombreuse reconnaissances (premier prix de poésie classique, médailles d'or, médaille de vermeil de l'académie européenne des arts et des lettres ect...), mais aussi premier prix du texte à chanson du CEPAL (centre européen pour la promotion des arts et des lettres).

Je peux présenter aux éditeurs, aux producteurs, pour leurs artistes des textes à chanson, des projets de chanson ou des chansons.

Mais aussi en relation avec l'artiste pour lui créer son univers, tout en gardant mon style d'écriture, ou en lui présentant des textes de mon catalogue.

J'ai collaboré avec de nombreux artistes

-Stéphensen                                                                                      -Marylin Stanko                                                                                -Greg M                                                                                            -Emmanuelle Azum

Et bien d'autres encore,

Je suis membre de la SACEM .

                                                       LES TRAINS

COUPLET (1)
Y a le silence qui parle, le silence qui hurle,
La lumière bouffée d'ombre cache mon regard sombre,
Une dose de cafard est sortie du placard.
Y a un train qui se barre du quartier de la gare,
Dans le ciel des éclairs, c'est l'enfer qui m'éclaire,
Ton visage disparaît et puis réapparaît.
Y a le train qui s'égare dans un brouillard bizarre
En laissant sur le quai l'odeur d'apocalypse,
J'ai froid, tu n'es plus là, serrer tout contre moi
Et pourtant c'est étrange, plus rien ne me dérange,
Dans l'écho des sirènes qui résonne et se tait,
Ton visage apparaît et encore disparaît.
REFRAIN
Tu aimais tant la mer, les vagues et le soleil,
L'oiseau sur la fenêtre et bien d'autres merveilles.
Tu aimais tant mes mots quand tout devenait beau,
L'éclat de ton fou-rire attisait nos délires,
Ce train qui fout le camp, dans le wagon regret
Ton visage apparaît et encore disparaît.
COUPLET (2)
Y a un bar qui s'éclaire au quartier de la gare,
Le ciel gronde plus fort et la lumière s'éteint
Et se rallume encore dans le petit matin,
La fille du bar se marre, me regarde et sourit
Et je pousse sa porte, tout est déjà écrit
Ton visage apparaît et encore disparaît.
Je bois mon café noir et les nuages noirs
S'en vont chialer ailleurs, emportant leur rancœur
Pour crever loin du quai, loin des lieux qu'on aimait.
Sur les bancs de la gare, d'autres attendent leur départ,
Ces trains qui foutent le camp sans remord sans regret,
Ton visage disparaît et puis réapparaît.
REFRAIN
Tu aimais tant la mer, les vagues et le soleil,
L'oiseau sur la fenêtre et bien d'autres merveilles.
Tu aimais tant mes mots quand tout devenait beau,
L'éclat de ton fou-rire attisait nos délires,
Ce train qui fout le camp, dans le wagon regret
Ton visage apparaît et encore disparaît.



Christian Hémon ( Auteur Sacem) .




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